Voici un article spécial, très spécial… Par sa forme, une vidéo, et par son sujet, la placentophagie, à savoir manger son placenta. Bon appétit !
Le texte de la vidéo plus bas, après les infos et liens.
Infos et liens :
Merci à Cécile du blog NATURETTE dont vous avez pu voir certaines des magnifiques photos dans la vidéo.
Pour savoir comment faire faire des granules homéopathiques à base de placenta, même en France (laboratoire allemand), si vous parvenez à récupérer un morceau de votre placenta, la marche à suivre est aussi sur le blog NATURETTE : Isothérapie placentaire
Mes sources sérieuses et fiables :
Doctissimo : Manger son placenta
Magicmaman : Peut-on vraiment manger son placenta en France ?
En savoir plus sur la réglementation de l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) sur les novel foods et comment cela affecte la placentophagie dans l’Union Européenne : My placenta, my choice
Le livre de recettes de placenta sur Amazon (les commentaires valent le détour) : 25 Placenta Recipes – Easy and Delicious recipes for cooking with placenta!
Le texte de la vidéo :
Voici une vidéo sur un sujet un peu spécial, je vous l’accorde : la placentophagie, c’est-à-dire… Manger son placenta !
Je ne suis pas une professionnelle certifiée de la placentophagie, mais pour préparer cette vidéo, j’ai quand même fait un peu de recherches, mes principales sources étant doctissimo.fr, magicmaman.com, vulgaris-medical.com, et wikipédia bien sûr… Attention, tout ce que je vais dire est donc scientifique et très fiable.
Mais déjà avant de rentrer dans le vif du sujet, qu’est-ce que le placenta ?
Perso avant d’être enceinte, et même avant d’accoucher de mon premier enfant, je ne savais pas ce que c’était qu’un placenta…
Le placenta est un organe qui se forme pendant la grossesse. Quand elle est enceinte, le corps de la femme crée, dans l’utérus, à la fois un embryon qui devient un foetus, puis un bébé, c’est à dire un être humain… jusque-là si tout se passe bien je ne vous apprends rien.
Dans l’utérus est aussi créé un placenta, qui n’existe que pendant la grossesse donc, qui est un organe qui se forme en même temps que le bébé (l’être humain associé), et qui permet d’assurer les échanges nutritifs entre la maman et le foetus. C’est un amas de tissus organiques spongieux, contenant de très nombreux vaisseaux sanguins, qui est accroché à la paroi de l’uterus et qui est relié au bébé par le cordon ombilical.
Pas de placenta, pas de bébé.
Pas de bébé, pas de placenta.
Le placenta n’est pas un être vivant, donc, au contraire du bébé. C’est un organe très pratique, et très magique, qui permet au bébé de se nourrir quand il est dans le ventre de sa mère.
Quand femme accouche par voie naturelle. Elle accouche a priori en 2 temps. D’abord d’un bébé, c’est ce qu’on appelle la naissance. Puis le placenta se détache de la paroi utérus, et sort à son tour : c’est ce qu’on appelle la délivrance.
Et on se retrouve avec un bébé et un placenta accroché au bébé par le cordon ombilical. On coupe le cordon ombilical. On garde le bébé… Et que faire du placenta ?
Le manger !
Voici donc, 10 trucs à savoir sur la placentophagie.
1. A qui appartient le placenta ?
Avant de rentrer dans le vif du sujet, une question philosophique se pose : le placenta appartient-il au bébé ou à la maman?
C’est une véritable question philosophique. De quel droit la mère s’octroierait-elle tout le bénéfice de la consommation du placenta sans en faire profiter son bébé… La question est vite réglée, puisqu’on peut penser que lorsqu’elle allaite, une partie de l’essence du placenta ingéré se retrouve dans le lait. Donc le bébé n’est pas en reste.
2. Manger son placenta, est-ce légal ?
Attention ! En France, le placenta n’appartient même pas à la mère, il est interdit de récupérer son placenta, donc encore moins de le manger, a priori. En tant que française expatriée, ça ne m’étonne pas énormément.
D’après une source fiable (doctissimo), en gros, soit le placenta peut être utilisé pour la science avec l’accord de la maman (normalement), soit il doit être collecté et incinéré, sous peine de sanction pénale (2 ans d’emprisonnement et 75000 euros d’amende)….
Bon, si je comprends bien d’après mes recherches très poussées (trois minutes sur google), dans les faits, même en France y’a des femmes qui récupèrent leur placenta, c’est plus facile si elles accouchent chez elles. Et il y a des sage-femmes, même en maternité, qui acceptent de donnent leur placenta aux mamans… Je ne crois pas qu’aucune femme n’ait jamais été condamnée à quoi que ce soit pour avoir récupéré son placenta… En tout cas j’ai jamais entendu de témoignages allant dans ce sens.
Cette loi est en fait destinée à combattre les trafics d’organes, pour toutes les histoires de greffes on ne peut pas être propriétaires de morceaux de nous-mêmes, et par extension, ça inclue le placenta.
Ou alors, le principe de ces lois est d’éviter les dérives sectaires où les gens récupèreraient les placentas qui ne leur appartiendraient pas, et puis ils feraient des cérémonies avec du sang partout, et ils mâchouilleraient des morceaux de placenta en faisant des incantations “pleine lune je t’aime”…
J’ai remarqué que la société française était, par nature, très vigileante à tout ce qui pouvait s’apparenter à une derive sectaire….
Moi je n’ai pas eu le problème, je n’ai pas accouché en France. Mon premier fils est né aux Etats-Unis, et mon deuxième au Royaume-Uni.
Bon, même aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, manger son placenta n’est pas une pratique très répandue, je ne dis pas qu’ils ne vont pas faire une drôle de tête en voyant une mère se pointer à la maternité pour son accouchement avec une glacière en mains… Simplement, ce n’est pas illégal comme en France.
3. Manger son placenta, à quoi ça sert ??
Le placenta est plein de fer, de protéines, d’hormones, de vitamines, et le consommer après l’accouchement permettrait à une mère, entre autres, de réduire le risque de dépression post-partum, et de faciliter la mise en place de l’allaitement…
Bref, c’est pour reprendre du poil de la bête rapidement après un accouchement, et éviter de devenir trop apathique ni hystérique parce que tu viens d’avoir un bébé et que tu ne comprends rien ce qui t’arrive.
Sérieusement, une dépression post-partum, ce n’est pas drôle du tout, et si on peut éviter ça en dégustant cet organe spongieux qui vient de sortir de son corps, autant en profiter.
Bon, par contre, c’est pas trop trop prouvé scientifiquement… D’après wikipédia, il existe des études scientifiques, mais pas suffisamment, pas à grande échelle statistiquement fiable qui démontre que le placenta agit vraiment comme un anti-dépresseur et une aide à la production de lait, et s’il y a vraiment un effet en terme de réduction du risque de dépression post-partum.
Si ce n’est pas trop trop prouvé, alors, pourquoi le faire, me demanderez-vous peut-être.
Pour une simple et bonne raison.
Parce que…
4. Manger son placenta, c’est COOL
C’est cool. C’est juste trop cool.
Manger son placenta, si tu racontes ça au milieu d’un barbecue, tout le monde t’écoute direct. Enfin en réalité peu de gens savent ce qu’est un placenta, mais ce n’est pas grave, c’est quand même trop cool à raconter, et c’est l’occasion d’expliquer aux gens ce que c’est et de faire sa savante.
En plus de nos jours, tu peux en parler sur le facebook, sur le twitter, sur l’instagram, tu peux même en faire une vidéo sur le youtube.
Pour vous dire à quel point c’est trop cool, Kim Kardashian elle-même a mangé son placenta et elle l’a dit sur son twitter, avec une photo.
Si l’argument du “c’est trop cool” ne vous convainc pas, une autre raison qui peut vous faire réfléchir, c’est ce qui se passe dans la nature, et ce que font les autres mammifères.
5. Les autres mammifères
En effet, quasiment tous les autres mammifères mangent leur placenta. Même une vache, qui a priori est herbivore, c’est-à-dire qu’elle mange de l’herbe, c’est-à-dire que son système digestif est fait pour digérer de l’herbe… Même une vache devient en quelque sorte carnivore, après son accouchement, et mange son placenta, histoire de faire le plein de protéines.
L’exception, ce sont les mammifères marins (dauphins, baleines, etcetera…), qui eux ne mangent pas leur placenta.
Il faut dire aussi que manger son placenta, c’est un moyen de faire le ménage. Il y a ce truc sanguinolent, ça fait crade, si on le laisse là ça va attirer les mouches au mieux, les prédateurs au pire, alors hop, on bouffe tout, on lèche son bébé, et voilà c’est tout propre.
Mais un dauphin, il a pas besoin de faire le ménage, il est dans l’eau !!
Par contre, une poule ne mange pas son placenta.
6. Recettes pour manger son placenta
Venons-en à l’aspect pratique : comment consommer son placenta ?
Vous pouvez le manger cru. Le plus simple, c’est en smoothie, directement après l’accouchement pour vous filer la pêche. Vous ajouter quelques myrtilles, une ou deux bananes, vous mixez, et hop vous dégustez.
Vous pouvez aussi le cuisiner.
Aux Etats-Unis, une personne a même publié un livre de recettes pour placenta.
25 recettes de placenta, Des recettes faciles et délicieuses pour cuisiner votre placenta.
Inclu, le fameux : Bourguignon au placenta.
Malheureusement à ce jour non traduit en français.
SI vous parlez anglais, je vous invite à aller lire les commentaires des lecteurs sur amazon, c’est assez cosmique.
7. Pour les végétariens
A noter, si vous êtes végétarienne, avoir un bébé est une occasion unique de manger de la viande sans causer de la souffrance à aucun animal (je ne parle pas de la souffrance de périnée, on est d’accord, le périnée n’est pas un animal).
Petite disgression, on peut aller plus loin, et dire que si vous êtes végétalienne, donc refusez de consommer tout produit animal y compris le lait, et bien avoir un bébé est l’occasion de produire votre propre lait, certifié zéro maltraitance animale, 100% local (20cm de votre bouche).
Si on y réfléchit quelques secondes, boire le lait produit par son propre corps me parait plus naturel que de boire le lait d’une vache, qui fait du lait pour son veau. Mais on vit dans une société où boire le lait d’un autre animal est considéré comme normal, voire même indispensable (WTF), mais par contre boire son propre lait, si vous dites comme ça dans un barbecue (ou dans une vidéo youtube), on va vous prendre pour quelqu’un de franchement bizarre.
Personnellement, je trouve ça un peu excessif de faire un bébé dans l’optique de pouvoir manger de la viande et boire du lait de manière éthique, ssans engendrer de souffrance animale, mais chacune a ses motivations pour procréer, je respecte les choix des unes et des autres.
(Non, si vous vous posiez la question, sachez que non, je ne bois pas mon propre lait, je ne vois pas l’intérêt de m’emmerder à tirer mon lait pour le boire moi-même. J’ai goûté une fois, quand même, bien sûr.)
Mais est-il légal en France de boire son propre lait ?
Est-il légal en France de manger ses propres crottes de nez ?
Si un jour quelqu’un découvre que la crotte de nez est un anti-dépresseur très efficace, ne risque-t-on pas de voir des traffics apparaitre, avec des gourous dangereux qui inoculeraient volontairement un rhume à leurs adeptes dans l’optique qu’ils aient un maximum de sécretions nasales à manger, tout ça pour avoir un peu plus de joie de vivre ? On est tous à la recherche du bonheur, certaines personnes peu scrupuleuses en profitent. Il nous faut des lois pour nous protéger !
Pour en revenir à notre sujet du placenta,
Moi, personnellement je ne mange pas de viande, et ce n’est pas juste une question éthique de souffrance animale, c’est aussi que je trouve ça gore, le sang, la chair, je n’aime pas ça. Ça tombe bien, pour les mamans comme moi, il existe une solution : l’encapsulation.
8. Encapsulation du placenta
Il est en effet possible de faire encapsuler son placenta, c’est-à-dire de le transformer en gélules, des comprimés à avaler avec un verre d’eau, comme des vitamines. C’est ce que c’est, des vitamines, c’est bourré de vitamine, de fer, d’hormones qui rendent euphoriques et qui font gonfler les seins.
D’ailleurs, étant donné leur richesse en fer, on recommande de ne pas prendre de compléments de fer en plus de ces gélules de placenta, parce que sinon, vous risquez d’ingérer trop de fer et du coup, d’être constipé.
On n’a pas envie d’être constipé quand on vient d’accoucher.
On n’a vraiment. Pas. Envie. D’être constipée. Quand un bébé vient de sortir de notre vagin et a fait explosé toutes les veines autour de cette zone.
C’est une terreur terrible dont on ne parle pas assez, je trouve, le premier caca après un accouchement… une terreur monstrueuse. Et pourtant, c’est tabou. Combien de femmes se retiennent d’aller aux toilettes pendant des jours après avoir accouché, tellement elles ont peur ?
Bref, pour revenir à notre placenta, il existe un réseau international d’encapsulation de placenta, l’IPEN (Independent Placenta Encapsulation Network), qui est une source d’informations et de documentation sur le sujet, qui organise des formations et des certifications et qui recense tous les encapsulateursde placenta professionnels et certifiés.
Ne cherchez pas, il n’y en a pas en France…vous savez pourquoi.
Faire appel à un professionnel a un coût, bien sûr. Ça dépend qui, ça dépend où, ça tourne autour de 150, 200 euros.
Vous pouvez tout à fait encapsuler votre placenta vous-mêmes, et acheter un kit d’encapsulation de placenta sur internet, ça existe. J’ai une copine dont c’est le mari qui l’a fait, et d’après ses dires, c’était un moment très spécial. Ce kit vient avec un mode d’emploi et tout ce dont vous avez besoin pour transformer votre placenta en petites gélules miracles. Vous pouvez trouver des articles de blog DIY et même des vidéos youtube pour vous expliquer comment faire.
Sans rentrer dans les détails, en gros, il existe deux techniques d’encapsulation de placenta :
– La méthode de Médecine Traditionnelle Chinoise : on aurait trouvé des documents datant de 1578, comme quoi le placenta était déjà utilisé à l’époque dans la médecine traditionnelle chinoise, comme remède. Cette méthode consiste à cuire le placenta à la vapeur avec des herbes médicinales, puis le placenta est déshydraté pendant 10 heures, broyé, et encapsulé…
-La deuxième technique d’encapsulation, pour les adeptes du crudivorisme, qui pensent que la cuisson peut endommager les hormones et les nutriments : dans cette méthode le placenta n’est pas cuit mais simplement coupé en morceaux et déshydraté tel quel d’abord à 70°C pendant une heure pour détruire les éventuels éléments pathogènes, puis à 55°C pour 14 à 16 heures
Moi j’ai choisi la méthode médecine chinoise, je n’ai aucun scrupule par rapport à la cuisson. J’ai reçu 131 gellules dans un joli bocal avec le logo de l’IPEN… J’avais un petit placenta, ça peut aller jusqu’à 200 gellules.
9. Homéopathie avec le placenta
Au-delà des gélules, il est possible d’utiliser un petit morceau de son placenta pour en faire des remèdes homéopathiques.
Le principe, c’est de l’homéopathie, on dilue on dilue on dilue… Et on obtient un remède à base d’essence de placenta très dilué.
Pour la maman, ça peut aider pour des symptomes de stress émotionnel, de dépression, de chagrin, de deuil, de déséquilibre hormonal… ça aide à être mère en fait…
Et pour le bébé ça peut aider pour les symptomes de colique, de dents qui poussent, d’angoisse de la séparation, de difficultés liées à l’allaitement… quand il pleure et qu’on sait pas pourquoi, quoi… donc quand même très pratique.
Cela ne se limite pas à la maman et au bébé, ni à juste après la naissance, ça peut être utilisé pour tout symptôme émotionnel lié à la relation mère-enfant, par exemple pour le grand frère qui a du mal à gérer sa jalousie, ou plus tard même pour la crise d’adolescence…
Est-ce que ça va faire manger ses brocolis à votre enfant, ou lui faire comprendre qu’il n’est pas cool de faire pipi sur la moquette ? Il y a pas d’études scientifiques pour corroborer tout ça.
Parce que là, ne cherchez pas, on combine placenta et homéopathie, autant vous dire que c’est encore moins prouvé scientifiquement.
Mais ça n’en est pas moins super cool pour autant.
Ne négligeons pas le pouvoir de l’invisible… Nous sommes énergie, tout est énergie !
10. Faire de l’art avec son placenta
Si vraiment, vous trouvez tout ça trop cannibale à votre goût, mais que l’idée de faire quelque chose de votre placenta pour l’aspect sacré de cet organe, vous dit bien, vous pouvez le récupérer pour en faire quelque chose beau mais qui n’implique pas d’ingestion par la bouche, ni par tout autre orifice d’ailleurs.
Par exemple, vous pouvez l’enterrer et planter un arbre par dessus. Voilà, ce qui appartient à la terre revient à la terre, et l’arbre grandira en même temps que l’enfant, et tout et tout. Il faut bien l’enterrer dans un endroit protégé, sinon concrètement, il va se faire déterrer et bouffer dès le premier soir par le premier renard qui passe.
Vous pouvez aussi en faire de l’art. Par exemple un arbre de vie : c’est utiliser le placenta comme empreinte pour dessiner un arbre. Toutes les ramifications des vaisseaux sanguins vont faire le branchage de l’arbre, et le cordon ombilical fait le tronc.
Voir les photos sur le blog de Cécile : NATURETTE
Soit c’est le sang en lui-même qui fait office de peinture, et puis on fait des photocopies après parce que le sang c’est pas une peinture qui tient très bien, soit on peut y rajouter de la peinture à l’eau pour faire un effet un peu moins rouge sang qui s’assèche avec le temps.
Ça fait un joli poster dont la symbolique est très forte. Vous pouvez l’encadrer et l’accorcher au milieu de votre salon.
Simplement, un conseil, décrochez le tableau du mur quand le bébé en question atteint l’adolescence, parce que quand il va atteindre la puberté, il risque de commencer à mal le prendre.
« Ouè vas-y c’est nul ton truc là c’est bon chuis plus un bébé, faut couper le cordon là vas-y. »
Autre exemple d’oeuvre d’art : utiliser le cordon ombilical pour en faire un pendentif.
On peut faire plein de trucs différents, il suffit d’avoir un peu la fibre artistique.
C’est spirituel.
C’est de l’art spirituel.
C’est beau.
Si, si
J’ai envie de pleurer à chaque fois que je le regarde. (c’est vrai en plus)
Je l’offrirai à ma belle-fille le jour du mariage de mon fils. Elle a intérêt à le porter, si elle veut ma bénédiction.
Nan mais c’est bien de savoir couper le cordon, mais j’avoue que si on garde le cordon toute sa vie, c’est un peu de la triche.
Conclusion
En conclusion, pourquoi manger son placenta ? Je pense l’avoir bien démontré par cette vidéo, manger son placenta, c’est l’avenir de l’humanité et une solution durable pour la paix dans le monde.
Si vous aussi vous souhaitez participer à la paix dans le monde, ou juste si vous avez aimé cette vidéo et que vous avez envie de me soutenir dans mes missions d’investigation scientifique sur des sujets liés à la maternité, et bien n’oubliez pas de partager cette vidéo, de la commenter, de vous abonner, sur youtube, sur facebook, sur la newsletter sur mon site, etcetera etcetera…
Merci !
Merci à Marion qui m’a suggéré cette idée de vidéo il y a plusieurs mois, suite à mon article sur l’accouchement à domicile, curieuse d’en savoir plus.
le placenta appartient à la mère et non pas au bébé
une maman chat va mettre au monde 6 BC hâtons mais il n’y aura qu’un seul placenta
A part pour certains cas de jumeaux monozygotes (pas tous), il y a autant de placentas que de bébés :-)